Corneille - « Suréna » comme si on y était !
Théâtre classique de l’ancienne France. On rit, on pleure !
par Napolerick
10 questions
1. Suréna est un personnage historique véritable. C’est lui qui a défait l’armée romaine de :
a Crassus
b Pompée
c Turlutis
2. On est donc chez :
a Les Perses
b Les Parthes
c Les Pygmées
3. Qui est la fille d’Artabase qui doit épouser Pacorus, le fils d’Orode ?
a Eryx
b Emésia
c Eurydice
4. Cette fille est dégoûtée. Suréna est dégoûté. Ils s’aiment mais on les destine tous les deux à une autre alliance matrimoniale. Suréna dit une chose magnifique :
a « L’amour est la seule vraie victoire ! »
b « Qui cherche à mourir doit chercher ce qui tue ! »
c « La trahison envers un prince pervers est pardonnée par le cœur ! »
5. La sœur de Suréna l’aime et en est aimée, mais Orode veut briser tout ça pour sa politique d’alliance. Quel est le nom de cette sœur de Suréna ?
a Iole
b Palmis
c Surénette
6. Catastrophe future en route ! Orode ne digère pas la grandeur de Suréna. Il lui reproche :
a Ses vassaux fidèles à lui seul
b Son train domestique de dix mille âmes
c Ces deux choses. Ce roi jalouse à mort son général !
7. Qui est destinée au général Suréna qui la déclare d’un sang trop noble pour sa petitesse ?
a Mandale
b Mandane
c Mangrove
8. La sœur de Suréna et la fille d’Artabase examinent le dilemme dans lequel elles sont engluées. Quelle est la suite du vers 1154 : « Quand le feu diminue, ... » ?
a « ...il s’éteint de lui-même ! »
b « ...Zoroastre, hélas, nous le renouvelle ! »
c « ...des incendiaires apostés viennent en faire un brasier ! »
9. La fin :
a Suréna est assassiné !
b Les amoureux tuent Orode !
c Ni ceci, ni ça, le roi épouse Suréna !
10. On nous sort de belles phrases, c’est pas le style ordurier, creux et minable 2000 ! On nous en tartine de belles sur la fidélité, l’honneur, l’amour... D’ailleurs, qu’est l’amour pour Orode ?
a « Un complot ingrat contre la sûreté de l’état ! »
b « Une vaine chimère qui fait le plaisir des âmes vulgaires ! »
c « La taxation de la sève mâle par l’envoûtant sortilège d’une vestale ! »